• Tout ce qui fait mal sera puni un jour.

    Une loi ancestrale appelle ça le retour.

    L'effet de boomerang aura pris son élan.

    Pour rendre tous les coups qui ont marqué mes jours.

    La vengeance n'est pas mienne, je préfère dire amen.

    Et laisser la nature absorber mes ruptures.

    Pourtant je leur pardonne, de n'être que des hommes.

    Car ils verront demain, ce que s'ra leur destin.

    D'avoir semé le mal, récolt'ront la timbale !!!

    Cheyenne.

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  • On croit qu'on n'peut s'arracher,
    A ces liens qu'on dit sacrés.
    Mais il n'en est rien,
    Seulement dans nos pensées.
    Lorsqu'on ouvre les yeux,
    Ca paraît insensé.

    D'avoir cru que nous deux,
    Rien n'pouvait nous séparer.
    Pourtant s'est bien fini
    je me suis réveilleé,

    Je ne tiens plus à lui,
    J'étais hypnotisée.

    Sortie de ma torpeur,
    Je me suis demandée,
    Ce qu'en pensait mon coeur,
    De notre histoire ratée.

    Il ne ressent plus rien,
    Qu'un vague sentiment,
    Pour toutes ses étreintes,
    Qui n'étaient que du vent.

    Le temps est mon allié,
    Pour avoir trop souffert.
    Il m'aidera à oublier,
    Ce qui fut mon enfer.

    Combien de fois encore,
    Faudra t'il que je tombe,
    Pour voir une lueur,
    Qui me sortira de l'ombre,
    Avant que ma demeure,
    Ne soit celle de ma tombe !!!

    Cheyenne.


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  • J'n'étais qu'une marionnette suspendue à ta vie,
    Par une cordelette, un invisible fil.
    Qui n'a pu résister à tant de lâcheté ;
    Alors il s'est brisé, à préféré lâcher.
    Mais je n'étais pas prête, j'ai perdu l'équilibre,
    N'étant plus retenue, je tombe dans le vide,
    Et je suis un pantin que plus rien ne retient ;
    Errant dans le néant, ne trouvant plus ta main,
    Plus rien pour m'accrocher à ma vie, à demain.
    L'amour est si fragile, qu'il ne tient qu'à un fil ;
    Lorsque celui-ci casse, vous en laisse les traces !...

    Cheyenne.


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  • Pourquoi toujours se retrouver,
    Face à la réalité !...
    Vous croyez l'avoir oubliée,
    Et elle revient vous déchirer,
    Vous croyez en être débarrassée,
    Mais elle est là, pour vous montrer,
    Que tout ce dont vous aviez rêvé,
    N'est là que pour vous cruccifier,
    Et vous montrer qu'à tous les âges,
    On est toujours en pleine orage,
    Et lorsque on tombe de son nuage,
    La chute est rude sur le carrelage ;
    Mais ce n'est rien, qu'un corps humain,
    Qui souffrira encore demain.
    En attendant que vienne enfin,
    Celle qui prendra tout mes chagrins,
    Les emmènera toujours plus loin,
    Et pour moi sera la fin !...

    Cheyenne.

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  • Mal


    Il ne me comprends pas, il n'essaie même pas.
    Ou bien ne le veut pas, ne me regarde plus.
    Veut vivre à sa façon, sans aucune obstruction,
    Ne voit que ses envies, m'impose ses désirs.

    Je ne le comprends plus, je suis larguée, foutue,
    J'ai dû le décevoir, ou ça n'a rien à voir,
    Voulait-il être libre, partir dans ses délires,
    Ai-je été un prétexte, pour fuire sa forteresse,

    En associant ensemble, nos deux âmes en détresse ;
    Que dois-je croire aujourd'hui, que ma vie est finie !
    Qu'attendre de demain, lorsque l'on est plus rien,
    Poursuivre son chemin et dire c'est mon destin ;

    Je suis anéantie, une phrase a suffit.
    Je n'avais rien compris... Mais si !...
    Mon coeur a éclaté, il s'est désintégré,
    A présent je ne peux rester, il est temps de m'en aller,

    Seule je dois finir ma descente aux enfers,
    Et personne ne pourra plus m'atteindre ;
    Mon être vient de s'éteindre, je commence mon chemin,
    Et j'espère demain sera la fin... Dans les bras de Dieu enfin !...

    Cheyenne.

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