•   Pourquoi es-tu si compliqué,
      quand il suffit de s'aimer.
      Pourquoi es-tu si compliqué,
      quand il suffit de s'adorer.

      Pourquoi tant de haine,
      quand il suffit de dire je t'aime.
      Pourquoi tant de haine,
      quand il suffit d'être un tandem.

      Pourquoi cette méchanceté,
      quand il s'agit de s'affronter.
      Pourquoi cette méchanceté,
      quand il s'agit de l'être aimé.

      Pourquoi cette rengaine,
      quand il s'agit des mêmes problèmes.
      Pourquoi cette rengaine,
      quand il s'agit des mêmes peines.

      INACCESSIBLE ENVIE ;
      ne peut-on vivre en harmonie ?

      INACCESSIBLE ENJEU ;
      pour tous les amoureux !.............

                                      Cheyenne.


    votre commentaire

  •   Tu as toujours été présente,
      Pour bon nombre de gens.
      Depuis le commencement des temps,
      Chaque seconde, chaque instant.
      Tu es là, cachée dans la pénombre,
      Attendant le moment où tu sortiras de l'ombre
      Et me tomber dessus, comme une averse imprévue.
      Tu me glaces les sangs, tu envahis mes sens.
      Tout s'écroule autour de moi, le monde tourne et tourne encore.
      Tout n'est que tristesse, immense étendue déserte ;
      Il n'y a maintenant que regret et remorts ;
      Je te connais depuis de longues années,
      Il n'y a pas si longtemps, j'ai faillis t'oublier.
      Hélas, tu es revenue très vite, grossie.
      Tu t'es joué de moi et tu m'écrases sous ton poids ;
      Lorsque je vais par les chemins,  je te vois ;
      Tapie derriere un buisson, un rocher, un arbre ;
      Tu es là, de glace, je te regarde et tu m'accompagnes,
      Face à face à travers la campagne, jusque dans ma maison.
      Je me noie dans le brouillard, j'avance vers l'inconnu ;
      Je sais qu'il est trop tard, je me sens perdue,
      Pour moi pas de sursit, aucun ami.
      Mes jours et mes nuits se ressemblent,
      Toi et moi resteront ensemble,
      Liés par ce contrat que tu as inventé ;
      Je dois baisser les bras, abdiquer ;
      Constater que tu as gagné !!
      Détresse tu restes ma faiblesse..............

                                         Cheyenne.


    votre commentaire

  •   Je pense aux jours heureux,
      Qu'on a eu tous les deux.
      Aux chemins parcourus,
      Ils ont été nombreux.
      Nos souvenirs, confondut,
      La couleur de tes yeux.
      Nos joies passées,
      La douceur de ta peau.
      Aux longues années,
      Où tout me semblait beau.
      Tu m'as quitté, pour être mieux,
      Tu m'as laissé, pour d'autres cieux.
      Mais on se reverra, un jour dans l'au-delà ;
      Tu me tendras les bras, lorsque mon heure viendra ;
      Tu me présenteras à Dieu et à nouveau nous seront deux...........

                                                                  Cheyenne.


    votre commentaire

  •   Il y à longtemps, t'as fait ton choix,
      Ne pas vieillir auprès de moi.
      Tu es parti loin, très loin.
      Maintenant enfin, tu es bien.
      Là haut, tout là haut, tu as trouvé le repos.
      Tu es parti ailleurs, auprès d'un autre coeur.
      Tes souffrances sont finies,terminée l'agonie.
      T'as trouvé la chaleur, pour vaincre la douleur.
      Tu t'es endormi pour toujours, sans espoir de retour.
      T'as suivis la lumière, pour un autre univers.
      T'es avec les anges, à chanter des louanges.
      Tu pourras faire le bien, que tu rêvais de faire aux autres.
      Tu en a les moyens, avec tout tes âpotres.
      Tu le feras avec soin, sans retour de chagrin.
      T'avais pas tous les torts, t'avais un trop gros coeur.
      Mais ne regrette rien, c'est ça le genre humain,
      Quand il faut tendre la main, il remet au lendemain.
      J'aurais dû reboublée d'effort, mais j'n'ai pas été assez forte ;
      J'aurais dû être présente, t'accompagner en cet instant.
      Seul t'a pris le chemin des cieux, t'as pris le bras de dieux.
      T'as rejoins le seigneur, tu brilles par sa lueur,
      C'est lui le vrai bonheur !..........

                                                   Cheyenne.


    votre commentaire

  •   Assise à rêvasser, je pense à mon passé.
      Qu'est-il arrivé à mon coeur blessé.
      Toutes ses années qui se sont écoulées.
      Toutes ses années perdues, j'm'en suis pas aperçue.
      Quand es-tu venue ? je ne m'en souviens plus.
      Je ne sais vraiment plus, quand t'es apparue.
      Combien de temps ? ça fait longtemps déjà .
      Combien de printemps ? je ne m'en souviens pas.
      Mais tu étais présente et tu es toujours là ;
      J'en ai versé des larmes à cause de toi.
      J'ai dû baisser les armes, enfin je ne sais pas.
      Je ne suis qu'une femme prise entre tes doigts.
      Je passe mes jours avec mon ennui,
      Mes nuits aussi avec mon insomnie.
      Aurais-je eu le choix si tu n'éxistais pas ?
      D'avoir un peu de joie et d'amour, pourquoi pas !
      Enfin je vis ma vie avec tout ces soucis.
      Mais tu vois comme toi, je n'ai pas eu le choix.
      Elle m'est tombée dessus, à l'âge où l'on grandit,
      Avec son pardessus, sans âge à peine vieilli,
      Depuis, elle est restée, ne m'a jamais quittée.
      Rivée à mon passé, s'en est presque une alliée.
      Elle se nomme ainsi : MADAME NOSTALGIE.

                                                  Cheyenne.


    votre commentaire



    Suivre le flux RSS des articles
    Suivre le flux RSS des commentaires