• Je n'avais pas mesuré l'ampleur de ton absence,
    Encore moins la grandeur de ce silence.
    J'avais tellement besoin de toi, ta présence,
    Et aujourd'hui je n'ai plus de défense.
    Ce vide qui m'enfonce doucement,
    Je t'aimais tant petite maman.
    Personne ne pourra me rendre le trésor que j'ai perdu,
    Un être à la valeur inestimable, comme l'ont n'en fait plus.
    Trop dure réalité de la vie,
    Ma raison dit : ELLE EST PARTIE, mais mon coeur lui le renie ;
    Rien ne m'apaise, ni mes larmes, ni mes rêves,
    Je suis sur une fournaise, sans arme ni trêve.
    Torturée jours et nuits, entre réalité ou folie,
    Tous les jours je fuis, cette image de toi étendue sur ton lit.
    Dans ta robe rouge, si belle et que plus rien ne dérange,
    Rien ne bouge, telle une statue, un ange.
    Aurais-j' rêvé .... ; vais-je me réveiller,
    Te voir à mes côtés et pouvoir te serrer ;
    Mon esprit est confus, et mon coeur déçu,
    Mais cette vie est ainsi conçue.
    Toute cette haine, n'est que ma colère,
    De ne pas t'avoir dit je t'aime ; et ne rien avoir pu faire.
    Humaine, impuissante, je t'aime à chaque instant .......... ma petite maman.

    Cheyenne.


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