• Je suis anéantie, je glisse dans le silence,
    Il n'y a plus rien à dire,
    Ma souffrance est immense,
    La douleur est profonde,
    Je sombre dans l'abîme,
    Il a creusé ma tombe, piétiné sa victime,
    Trop mal pour lutter, je me laisse emporter,
    Par tant d'histoires ratées,
    Cette fois il a gagné.
    Il a eut raison de moi,
    Maintenant c'est lui le roi,
    L'enfer ma rattrapé,
    Je n'en reviendrai pas !!!

    Cheyenne.


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  • C'était pourtant une belle journée qui avait commencée,
    C'était merveilleux, magique, enchanteur,
    Je ne sais pas ce qui s'est passé, ........ un mot !
    C'était odieux, cynique, horreur,
    Des mots surgissent, des verbes, cruels ;
    Tout s'écroule, l'effroi, je n'y crois pas...
    Qui est-il devant moi ? ... cet être que je ne connais pas ;
    S'adressant à moi, d'un ton méprisant ! ...
    Dressé là devant moi, je le croyais mon roi ; ...
    Mon coeur se meurt, d'écouter ces horreurs ;
    Il saigne, il souffre, il a si mal ! ... si mal...
    Au plus pronfond de mes entrailles, la douleur est intense ;
    Mon corps ? un volcan en fusion, plein de lave ;
    Mon coeur ? percé à vif, mourant, plein de larmes !
    Au plus profond de mon âme, la douleur est immense ;
    La blessure est sans fin, ... j'aimerais mourir demain...
    Oublier, pardonner, ne plus y penser !
    Mais peut-on oublier l'enfer ! ...
    Ne plus y penser ? ... c'est ancré ! ...
    La nuit est là pour me le rappeler ; la mémoire ne s'est pas envolée ;
    Plus rien n'est comme avant, adieu prince charmant,
    Y a plus d'conte de fée, s'en est fini de l'être aimé !
    Lucifer a parlé, vociféré ses cruautés ;
    C'est bien ! Il a gagné... !
    Touchée en plein visage, tombée de mon nuage !
    Le coeur blessé et plein de rage, serré, sali par ce langage,
    Noyé par tant d'outrages ; meurtris, il cherche le courage,
    Le courage de battre encore ! tant qu'il est temps ! ...
    Le temps... c'est tout ce qui reste ; ... le temps d'effacer,
    Mais peut-on effacer autant de méchanceté ? ...
    Peut-être pas, je ne sais pas ! ...
    L'être humain est si cruel, mais demain !!!,
    Je me rappelle...
    C'était une très belle journée, qui avait pourtant si bien commencée ! .........................

    Cheyenne.


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  • Je suis blessée,
    Au plus profond de mon âme !
    Je suis rongée,
    Au plus profond de mon être !
    Je suis usée, fatiguée,
    De t'avoir tant donné,
    Au plus profond de mon coeur !
    J'ai le vague à l'âme,
    Il fait noir dans ma tête,
    Ma vie se meurt.
    J'ai mal, très mal,
    Au plus profond de mon âme !
    Le mal prend place,
    Au plus profond de mon être !
    Il est là et s'installe,
    Au plus profond de mon coeur !
    Et jaillit un torrent de larmes,
    Et rien ne l'arrête,
    Oh ! éternelle douleur,
    Toujours plus subtile,
    L'amour existe t'il ?

    Cheyenne.


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  • Pourquoi ! ... ce profond désarroi ;
    Pourquoi ! ... suis-je là sans toi ?
    Si profonde est ma douleur,
    Inexplicable profondeur,
    Je n'arrive plus à vivre,
    Je me noie, chavire,
    Je ne tiens plus debout,
    Je n'ai plus qu'un dégoût,
    De tout ce qui m'entoure,
    Quitter ce monde de fou,
    Rejoindre la lumière,
    Redevenir poussière,
    M'enfuir, voler,
    Poussée par vents et marées,
    De continents en terres sacrées,
    Toujours plus loin, voyager,
    Entre ciel et terre me laisser porter,
    Et ne plus jamais, jamais m'arrêter.

    Cheyenne.


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  • J M

    Que voir de plus beau, que tes yeux langoureux,
    Que d'y lire tous les mots, qui nous rendent amoureux,
    Que de boire sur tes lèvres, le flot de ta sève,
    De sentir dans tes veines, l'assaut de nos "je t'aime",
    Et de prendre ta main sans regarder demain,
    Que de sentir tes reins, frissonner sous mes mains,
    De carresser ta peau, apprécier ses ecchos,
    De respirer ton âme et son parfum suave,
    Devenir une femme lorsque mon corps s'enflamme
    Et d'entendre ta voix me murmurer tout bas,
    Tout ce qui me nourrit et me remplit de joie.
    Lorsque nos corps s'unissent et qu'ils s'harmonisent,
    Que nos ébats nous mènent si haut dans l'au delà,
    Qu'y a t'il de meilleur que de sentir mon coeur,
    S'abandonner sans peur et fuser de bonheur.

    Cheyenne.


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