•   Namour je t'aimais tant.
      tu étais mon amant, mon mari, mon roi
      et tant de choses à la fois.
      Je t'ai donné mon coeur, mon âme et ma vie 
      et toute ma douceur, mes joies, mes envies,
      que j'en ai oublié le monde et mes amis.
      Je ne voulais que toi et même ma famille,
      passait après le roi !...oh ! quelle infamie !...
      Namour je t'aimais tant.
      alors j'ai tout donné, pour vivre chaque instant 
      auprès de l'être aimé.
      et je me suis damnée, moi !...ma liberté
      et tu m'a condamnée, toi !... puis enchaînée.
      tu as brûlé mon coeur, mon âme et ma vie,
      pris toute ma douceur, mes joies et mes envies;
      le monde s'est effacé et je n'ai plus d'amies.
      Namour je t'aimais tant.
      qu'il ne me reste rien, pas même le goût de vivre
      ou d'être avec les miens.
      tu as coupé les liens, plus rien ne me retient,
      t'as fait ça de tes mains et de moi un pantin ;
      et je n'ai plus de coeur, d'âme et de vie,
      encore moins de douceur, de joies plus d'envies.
      le monde s'est retiré et je suis seule...ici !
      Namour je t'aimais tant !!! pourquoi es-tu parti !.....
     
                                                     Cheyenne.


    votre commentaire

  •   Quel étrange sentiment,
      il s'empare de moi doucement ;
      le vide, le néant,
      voilà tout ce que je ressents,
      même étant au beau milieu des gens 
      je ne vois rien dans ce présent.
      Que sera demain ? meilleur enfin ?
      J'voudrais r'trouver le goût d'aimer,
      avoir envie d'espérer le voir arriver,
      entendre une voie, l'écouter avec émoi,
      le prendre dans mes bras, savoir que son coeur bat,
      me dire que c'est pour moi ,
      et que dans nos ébats, il n'y ait qu'une aura.
      faire avec lui mille prouesses,
      croire en la vie, à ses promesses,
      sentir mon corps chavirer ;
      mais après toutes ces années,
      mon coeur blessé, s'est desséché !............

                                            Cheyenne.


    votre commentaire

  •   Je n'ai personne à qui parler,
      comment pourrais-je m'exprimer ;
      Je n'ai personne pour me confier,
      me dire qu'il faut continuer ;
      Je n'ai personne à qui me fier,
      comment pourrait-on oublier ;
      J'aimerai tant pouvoir crier,
      pouvoir tout évacuer,
      à m'en faire crever les poumons,
      pouvoir rejeter ce démon,
      qu'a fait son nid au plus profond
      et qui me laisse dans la pénombre ;
      Je n'ai personne a mon écoute,
      pourquoi continuer cette route,
      lorsque le monde vous déroute,
      et que la vie elle vous dégoute ;
      Je n'ai personne pour me soutenir
      rejeter tous mes souvenirs,
      tirer un trait sur le passé et pouvoir tout recommencer ;
      Il n'y a personne autour de moi,
      et profond est mon désarroi !!....

                                         Cheyenne.


    votre commentaire
  •  

      Aujourd'hui je ne sais pas, toujours la même envie,

      ce mal qui me déchire, combat tout mes désirs ;

      il ne me lâche plus, revient toujours accru ;

      faire du mal autour de moi, je n'en est pas le droit ;

      renier mon être aimé, ne pas l'emprisonner ;

      je me suis résignée, il me faut m'effacer ;

      il a le droit de vivre, c'est moi qui doit partir ;

      au nom de notre amour, il fera son parcours ;

      il n'a que trop souffert, lui et moi avons connu l'enfer ;

      je n'm'en suis pas remise, resterai l'insoumise ;

      je m'en irai doucement, sans qu'il s'en aperçoive ;

      toujours en l'embrassant restreindrai mon entrave ;

      s'en jamais rien lui dire, ne pas le faire souffrir ;

      je partirai dans l'ombre sans peur et sans un bruit,

      et veillerai sur lui, cachée dans la pénombre ;

                                                     Cheyenne.


    votre commentaire
  •     J'aimerais être loin,
        parcourir les chemins, partir toujours plus loin,
        faire avec toi les plus beaux voyages.
        Sans jamais s'arrêter, ni se retourner.
        Tenir ta main, sans nul autre bagage.

        Rester avec toi pour l'éternité,
        te caresser, t'embrasser,
        te faire l'amour jusqu'au lever du jour.
        Sans repos et chaque minute recommencer,
        te serrer si fort contre moi pour que nos
        deux corps n'en fassent plus qu'un.
        Ne plus te lâcher, comme t'emprisonner,
        s'entrelacer pour ne plus se quitter,
        m'endormir à tes côtés, pour ne plus m'éveiller.
        Mais hélas, je ne peux que penser, imaginer.
        Tout ce dont je rêve depuis fort longtemps,

        S'efface lorsque je me vois seule,
        j'ai beau regarder, personne, tu n'es pas là.
        Seule ton image me hante et pour ne pas te perdre,
        je referme les yeux et tu réapparais,

        Les mêmes songes, les mêmes désirs,
        les mêmes envies me rongent et grandissent,  
        oui je te veux et lorsque je t'aurais,
        je te crierais mon amour et te dirais,
        à quel point tu me manques et surtout que je T'AIME.

                                                           Cheyenne.


    votre commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique